Airbnb connaît un développement exponentiel à Nantes, une concurrence jugée déloyale par les hôteliers. « L’impact sur notre activité est évident », estime Jean-François Dauchel, président du Club des hôteliers nantais. « Les propriétaires qui louent sur Airbnb ne paient pas de taxe de séjour et ne sont soumis à aucune contrainte normative (hygiène, sécurité, accessibilité, gestion de personnel…). C’est une concurrence déloyale qui, en plus, ne crée aucun emploi ! »
Les hôteliers nantais, prêts à se remettre en question face au développement des offres numériques, demandent simplement que les règles et les contraintes soient les mêmes pour tout le monde.